Juin 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | ||||||||||
2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | ||||
9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | ||||
16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | ||||
23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | ||||
30 | ||||||||||
|
Oui je sais Noël est passé, mais bon, les sapins de noël ne sont pas encore tous évacués. Cette année, j'avais mis chez moi, un petit sapin, lorsque mon soumis M est venu, l'idée d'un sapin bien plus grand m'est venu, je l'ai donc fait s'allonger, et après une désinfection de la zone, j'ai donc commencé la décoration de mon sapin humain.
Après lui avoir mis un bandeau sur les yeux afin de préserver la surprise, je sortais mes aiguilles, telles des branches
de sapin je les disposais de part et d'autre, de son torse.
J'aurai pu le faire dans le dos, mais je désirais
faire en sorte qu'il puisse admirer la réalisation. Je démarrais au niveau des seins, puis harmonieusement je descendais, piquant mes aiguilles de gauche et de droite, jusqu'au nombril. Ceci
fait, j'allais prendre une jolie guirlande lumineuse que j'installais de part et d'autres des aiguilles. Ensuite, je branchais la guirlande, et me retrouvait face à un magnifique sapin humain
clignotant. Je lui demandais de se lever afin que d'une part il puisse se regarder et que d'autre part je me retrouve avec une vision d'un sapin illuminé, se promenant dans ma salle équipée. Quoi
de plus amusant et festif... Dommage qu'il ne soit pas venu le soir du 24, j'aurai pu le mettre dans un coin et déposer les cadeaux au pied de cet original sapin...
Je commence, enfin non c'est faux, ça fait déjà un moment que certains comportements me hérissent le poil. Parmi ceux qui
m'énerve, il y a les soumis qui désirent, désirent, désirent... Mais arrivés sur place, oh la la, ah non, c'est beaucoup trop. Entres autres pratiques, particulièrement l'humiliation, car, avoir
ce fantasme est une chose, le réaliser, en est une autre. L'humiliation peut prendre des formes extrêmement différentes. Il ne suffit, donc, pas, de demander à une maîtresse, d'être humilié, sans
donner plus de précisions.
Exemple, lécher les pieds, s'exhiber, être déguisé, devoir avoir un comportement absurde, ces quelques exemples, au
demeurant, très différents les uns des autres, peuvent être considérés comme de l'humiliation, mais, une personne aimant lécher les pieds (et, donc, considérant cela comme humiliant) ne
supportera pas de porter un masque de cochon, de devoir ramper en faisant groin groin, afin de chercher des bonbons que la maîtresse aura caché dans des coins.
Il y a une différence notable, entre demander de l'humiliation, sans préciser quoi que ce soit, et, donc, de ce fait, de laisser carte blanche à la maîtresse, quant au scénario d'une telle
séance. Une dominatrice digne de ce nom, sera suffisamment tordue pour imaginer des situations extrêmement humiliante, qui pourront ne pas être assumer par le soumis. Si tel est le désir de
l'esclave, il doit exécuter à la lettre les demandes de la maîtresse. Bien sûr, et donc de ce fait, il risque de se retrouver dans une situation bien plus humiliante, qu'il ne le pensait. Et
alors ?
Contrairement à la domination physique, peut-on dire, qu'il y a une limite à être humilié... Je parle de ceci en ayant en tête une séance s'étant déroulée il y a peu, et qui hélas s'est coupée en
deux, car le soumis se rendant compte du ridicule de sa prestation n'a pas pu assumer et a eu le culot de me reprocher le déroulement de la séance. C'est très dommage car à titre personnel, je
trouvais cela fort amusant, distrayant, ne regrettant, face à un tel spectacle que de ne pas avoir de cacahuètes, voir une amie maîtresse avec moi afin de commenter et d'en rajouter une couche.
Ce genre de comportement est hélas dû au fait que ces personnes sont allées voir, la plupart du temps, de pseudo dominatrices sans imagination, habituées à des pratiques basiques, de ce fait, la
transition vers une vraie maîtresse n'est pas assumée.
Le soumis à l'audace de me dire un coup, c'est magnifique, un coup oh la la, ça ne va pas. Et, l'amusement de la maîtresse dans tout cela, on en fait quoi ? Il est très dommage que ces
soumis soient si étriqués dans leur désir d'humiliation et qu'ils ne soient pas prêts aux propositions opportunes, que je peux leur faire..... Déception....
Au vu du comportement irrationnel, abusif et délirant de certains soumis, il me parait important de procéder à la mise au point suivante :
Contrairement à ce que ces pseudos soumis peuvent s’imaginer, non, une dominatrice n’est pas habillée 24 h/24h en vinyl, latex, et autres cuirs. A fortiori lorsqu’il fait une canicule comme celle à laquelle nous sommes exposés en ce moment. Celui qui donc, va benoitement penser qu’il peut demander un RDV dans l’heure, la Maîtresse étant bien sûr habillée à son goût, vissée bien sûr selon lui devant son téléphone tel une poissonnière à son étal, désolée mais non.
Ce qui m’amène au 2ème point, l’outrecuidance, des mêmes soumis qui trouvent absolument normal d’envoyer des SMS ou de téléphoner à 2 heures ou 4 heures du matin et s’étonnant que la Maîtresse, soit ne réponde pas, soit envoie purement et simplement sur les roses l’abruti sus nommé. A aucun moment, il ne vous vient à l’idée que même une Maîtresse peut avoir une vie privée. Apprécieriez-vous d’être réveillés à des heures indues, par une personne trouvant absolument normal que vous répondiez illico à sa demande.
Il serait bon de ne pas inverser les rôles, le respect est une des valeurs premières du BDSM, ce qui veut dire, appeler dans une plage horaire convenable, ne pas s’imaginer la Maîtresse le cul vissé sur son canapé, en total look, attendant le chaland.
Si ses basiques notions de respect vous échappent, faisons simple, allez consulter les pseudos domina, qui elles sont open bar à toutes heures, et évitez les vraies Maîtresses, votre place n’étant pas auprès de ces dernières.
Cette recherche (ou fantasme) est bien évidemment très répandue, sauf que …
Que recherchent et que prétendent apporter les prétendants au graal ? A les écouter, ils sont tous disponibles,
multi-tâches, attentifs, réactifs, et j’en passe. La réalité des faits est tout autre, pour ce qui est de la disponibilité, entre le travail, bobonne, la chaleur qui fatigue, et les obligations
diverses et variées, il y a toujours une raison, pour ne pas pouvoir se trouver au service de la Maîtresse. Ce qui ne les empêchent pas de demander une appartenance, on se demande bien pourquoi….
Selon moi, la réponse est simple : « je deviens le soumis personnel d’une maîtresse, et hop j’aurais de manière régulière mes petites séances gratuitement contre un coup de balai »
et puis il y a ceux, et là on touche le fond, qui de suite, dès le premier contact vous disent qu’ils veulent être soumis personnel 24h/24 h, nourris, logés…. J’ignorais que les Maîtresses
avaient vocation à faire R’b’nb. Mais comment sans se connaître, un soumis peut-il penser qu’une Maîtresse va accepter de suite, de l’accepter chez elle, de partager sa vie privée, son intimité,
et j’en passe avec ce qui est au final un sombre inconnu…. Dans 98 % des cas, ces demandes relèvent du fantasme, et sont pour la plupart du temps irréalisables.
Il y a peu, j’ai malgré tout voulu tenter l’expérience, ce soumis se présentait comme motivé, relativement disponible,
multi-tâches… Sauf que…. Pour ce qui était de la disponibilité, il ne l’était que lorsque cela l’arrangeait, aller au restaurant, et recevoir une bonne séance en remerciement. J’avoue préférer
nettement, aller au restaurant avec des amis, que de me trainer un hypocrite, à la recherche de son seul plaisir. A mes demandes de RDV, pour remplir le rôle de chauffeur c’était soit lettre
morte, soit « ce n’est pas possible ». Pour le service, « oh oui Maîtresse j’aime être travesti, mais surtout ne me demandez pas de faire le service ainsi habillé…. Euh ……
Allo ? Au final, ou il n’est pas là, ou il ne peut pas, ou c’est quand ça l’arrange. Bref, les rôles sont inversés.
Résumons, peut-être me faudrait-il chercher une personne sans activités, sans famille, sans amis, sans attaches, ah bah
voilà je viens de donner la description d’un psychopathe.
Soyez réaliste, avant de prétendre à cette demande, il est impératif, de bien connaître l’autre, de partager des goûts
communs, en dehors du BDSM (sinon bonjour les vides au restaurant par exemple), et surtout être réaliste quant à ce que l’on propose à la Maîtresse. Si la plupart des soumis optent pour des
séances, c’est qu’il n’y a pas toutes les contraintes engendrées par une relation soumis personnel. A vous d’être honnêtes, de toutes les façons, une telle relation basée sur de fausses
promesses durera très peu de temps….
Il y a bien sûr plusieurs degrés dans ce que l’on appelle CBT, en français, torture du sexe. Certains soumis, comme JM apprécie les pratiques extrêmes. J’ai donc décidé, car je ne lui avais pas fait depuis un moment, de lui faire le papillon.
Soucieux du détail, il m’a apporté plusieurs planchettes de bois percées « à sa taille », avec des qualités de bois différentes, après inspection, j’en ai sélectionné une qui me paraissait correspondre parfaitement à la pratique devant être réalisée.
Après qu’il eut introduit son service 3 pièces dans le trou prévu à cet effet, je commençais par désinfecter soigneusement la zone qui allait être traitée. J’installais également une lampe puissante afin bien sûr de ne pas percer dans une veine ou gros vaisseau. Tout ceci fait, je me munissais des clous (ceux-ci bien sûr ayant été parfaitement désinfectés et marinant dans un bol rempli d’alcool), d’un marteau, et d’une tenaille.
Après avoir installé la peau des testicules, de manière à ce qu’elle soit équitablement répartie, à gauche et à droite, je commençais par planter un clou d’un coup sec et déterminé. JM, comme à son habitude, faisait quelques petits soubresauts tout en me faisant remarquer que quand même « c’est un peu douloureux Maîtresse ! » mais il accompagne toujours ses réflexions d’un grand sourire donc ….
Je continuais sur ma lancée avec un 2ème clou enfoncé à l’opposé du premier. Il me suffisait ensuite de clouer
en collerette afin de bien étirer la peau d’une manière harmonieuse, il restait à s’occuper du sexe. Je choisissais de tenter quelque chose de nouveau. Au lieu de rabattre le sexe vers le bas,
pour le clouer et ainsi faire le corps du papillon, j’optais pour un escargot, j’étirais donc le sexe le plus possible et là, je commençais à mettre un clou sur la peau à gauche, puis ensuite à
droite, j’admirais bien sûr le résultat…
Les 2 clous représentaient d’une manière surprenante les antennes d’un escargot… Je le laissais ainsi un moment, puis,
prenant la pince, j’otais un par un les clous et le libérait de la planche. Là aussi, désinfection, de toute la zone traitée, lui faisant remarquer que comme d’ordinaire il n’y avait pas de sang…
Ne me reste à réfléchir… Quel sera mon prochain motif ??.... sourire